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Kim Reeves

Profession : Développeur mobilité

Programme : DEC en informatique de gestion

Entreprise : Turbulent

 « La création sous toutes les formes me passionne. Programmer c'est aussi créer. Programmer c'est décider d'une structure solide avec une fondation logique robuste sur lesquels on construira une application, un jeu, un site web. »

Description : Le développeur en mobilité construit l'application basée sur les plans établis par les architectes et les designers. À l’interface entre les exigences de contenu et la faisabilité technique du projet, il travaille en collaboration avec des experts d’autres domaines de l’informatique (serveur, données…) pour donner naissance à des applications mobiles tantôt pratiques, tantôt ludiques, mais toujours fonctionnelles.

Au quotidien…  Entre la programmation et l’analyse de projets, le développeur mobilité doit intégrer dans son emploi du temps des périodes d’autoformation et de recherche. Pas le choix dans un secteur qui évolue aussi vite! Quand il devient un professionnel senior, il peut être amené à encadrer des développeurs moins expérimentés, prêter main-forte aux gestionnaires de projets, ou encore aider sa direction à répondre à des appels d’offres ou à recruter de nouveaux employés.

Les défis du métier : Dans le domaine de la mobilité, les technologies deviennent rapidement désuètes. La solution d’hier est rarement la solution d’aujourd’hui : tout doit être constamment réévalué. Cela rend l’aventure passionnante, mais aussi parfois un peu chaotique. La capacité d’adaptation devient alors le maître-mot pour apprécier pleinement ce métier.

Pourquoi cet emploi est formidable : À ses débuts, l’entreprise Turbulent comptait à peine 12 employés. Il y en a aujourd’hui plus de cinquante. C’est bien la preuve que le secteur de la mobilité est devenu incontournable en raison de nos nouvelles habitudes de vie et de consommation.  Être développeur mobilité chez Turbulent, c’est participer à cette effervescence. De plus, c’est un emploi qui laisse beaucoup de liberté : horaires variables et télétravail font partie des avantages appréciables… À condition d’être capable de bien savoir gérer son temps de travail.

Cheminement (études et autres) : Baccalauréat en enseignement des mathématiques et de la physique à l’UQAM. Découvre l’informatique et la programmation pendant ses études, un véritable coup de foudre qui l’amène à entreprendre un DEC en informatique de gestion.

Conseils pour réussir : Impossible de devenir un bon développeur mobilité sans avoir la flamme. La vraie réalité du métier se fait sur le plancher et non sur les bancs d’école, alors il faut savoir faire preuve d’autonomie et de débrouillardise. En résumé : « ne pas avoir les deux pieds dans la même bottine ». Connaître ses propres limites, accepter des défis qui sont à la hauteur de notre talent et de notre expérience, c'est une des qualités d'un bon développeur mobile. Ça nous assure de pouvoir livrer dans les délais attendus, sans s'épuiser.